Ou ce qui endort par semblant d'importance. La poésie ne doit jamais être faite exprès. Elle ne va jamais seule, ou n'ira nulle-part. Plongeoir ou fond du lit. Donc à craindre. Mais à risquer.
Les herbes qui poussent, là, sur les chemins de traverse. Tous les lieux d'échappée belle. Et puis, ce qu'il y a de plus simple au fond de soi, chaque avenue du goût, tous les loisirs, les cris et la douleur, jusqu'au désespoir. La poésie c'est ce qui semble nul au regard d'un adulte formaté, mais qui paraît indispensable à l'espoir d'un enfant.
C'est ce qui survivra à la disparition des abeilles. C'est désespérant, aussi.
RépondreSupprimerLa poésie ? C'est ce qui tremble au-delà de la voix.
RépondreSupprimerOu ce qui endort par semblant d'importance. La poésie ne doit jamais être faite exprès. Elle ne va jamais seule, ou n'ira nulle-part. Plongeoir ou fond du lit. Donc à craindre.
RépondreSupprimerMais à risquer.
Les herbes qui poussent, là, sur les chemins de traverse. Tous les lieux d'échappée belle. Et puis, ce qu'il y a de plus simple au fond de soi, chaque avenue du goût, tous les loisirs, les cris et la douleur, jusqu'au désespoir. La poésie c'est ce qui semble nul au regard d'un adulte formaté, mais qui paraît indispensable à l'espoir d'un enfant.
RépondreSupprimerJ'aime bien accompagnée de la musique douce.
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